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Pourquoi avoir choisi d'intégrer Artéfacts ? :
Pour pouvoir exercer mon activité professionnelle de façon indépendante et autonome (en termes d'organisation du travail, de choix de prestations et de partenaires), tout en faisant partie intégrante d'un collectif dans lequel je me retrouve bien (collaborations et complémentarités, co-développement de compétences, échanges de pratiques, reconnaissance, sentiment d'appartenance, etc.).
Quelles sont les valeurs qui vous animent au sein de notre collectif ? :
La coopération, la solidarité et l'entraide, l'écoute, la confiance, la compréhension, l'apprentissage permanent. La possibilité de s'exprimer et d'agir.
Quel est votre ressenti à l'idée qu'Artéfacts change de statut (passage de SARL SCOP à SAS/SA SCOP) ? :
J'ai probablement besoin d'en savoir davantage sur les tenants et aboutissants. Mais mon ressenti est plutôt positif car il me semble que cela impliquerait de passer d'un mode de gouvernance avec des co-gérants à un conseil d'administration, ce qui permettrait a priori de mieux répartir le poids des responsabilité entre pairs.
Quel est votre vécu/ressenti/sentiment lorsque l'on évoque l'idée de la mise en place d'un plancher ? :
Cela m'interroge sur ma propre activité, si jamais - à un moment donné - j'avais du mal à joindre les deux bouts (même si actuellement je ne suis pas en mauvaise posture) ou si jamais j'avais envie de moins travailler sur une période spécifique.
Je me dis aussi que c'est une bonne chose de se poser la question collectivement, de prendre le temps d'étudier les implications, les effets bénéfiques que cela apporterait, les points de vigilance que nous devons prendre en considération, et si cela permettrait de nous redresser financièrement. Je suis donc très favorable à l'idée d'en savoir davantage et d'en saisir les enjeux individuels, collectifs et plus globalement pour la structure dans la durée.
Je me dis aussi que cela doit s'accompagner et que nous devons prendre en compte et veiller à la santé psychique des coopérateurs/trices qui seraient directement impactés par la mise en place d'un plancher. Cela n'est pas anodin.
Je me dis aussi que c'est une bonne chose de se poser la question collectivement, de prendre le temps d'étudier les implications, les effets bénéfiques que cela apporterait, les points de vigilance que nous devons prendre en considération, et si cela permettrait de nous redresser financièrement. Je suis donc très favorable à l'idée d'en savoir davantage et d'en saisir les enjeux individuels, collectifs et plus globalement pour la structure dans la durée.
Je me dis aussi que cela doit s'accompagner et que nous devons prendre en compte et veiller à la santé psychique des coopérateurs/trices qui seraient directement impactés par la mise en place d'un plancher. Cela n'est pas anodin.
Voici une case "d'expression libre", si vous avez d'autres remarques, ou interrogations importantes qu'on aurait oubliées, que vous voudriez explorer lors des ateliers à venir ? :
Je tiens beaucoup à la coopérative Artefacts. Je m'y sens bien. La crise sanitaire a mis à mal les individus et le collectif et je souhaite de tout cœur que nous réussissions à nous retrouver et à passer ce cap difficile, en bon intelligence et dans le respect de chacun/e.